La déclaration conjointe a déclaré : « Le conflit syrien ne pourrait pas trouver de solution militaire et ne déboucherait que sur un processus politique négocié ».
Les dirigeants ont exprimé leur « satisfaction avec les réalisations » du sommet Astana depuis janvier 2017, en particulier, les progrès accomplis dans le fait de « réduire la violence dans la République arabe syrienne et de contribuer à la paix, la sécurité et la stabilité dans le pays. »
L’Iran, la Turquie et la Russie « ont souligné un engagement fort et continu en faveur de la souveraineté, de l’indépendance, de l’unité et de l’intégrité territoriale de la Syrie, ainsi que des buts et principes de la Charte des Nations Unies et ont précisé qu’ils devraient être respectés par tous. »
Les dirigeants « ont rejeté toutes les tentatives de créer de nouvelles réalités sur le terrain sous prétexte de lutte contre le terrorisme », tout en exprimant leur détermination contre les programmes séparatistes visant à porter atteinte à la souveraineté et l’intégrité territoriale de la Syrie et de la sécurité nationale des pays voisins.
La déclaration conjointe a déclaré que les dirigeants ont souligné « la nécessité de créer les conditions d’un retour sûr et volontaire des réfugiés et des personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays ».
La Russie, l’Iran et la Turquie ont également appelé les Nations Unies et ses agences humanitaires d’aider la Syrie en fournissant une aide humanitaire supplémentaire.
La prochaine série de pourparlers entre les dirigeants des trois pays aura lieu en Russie, a indiqué le communiqué.
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