Ankara a rejeté ces allégations et a appelé Bagdad à “ne pas être victime de la propagande noire des terroristes”.
Le porte-parole du ministère turc des Affaires étrangères, Hami Aksoy, a défini les remarques du porte-parole du président irakien selon lesquelles les opérations Griffes-Aigle et Griffes-Tigre ont causé des pertes civiles comme des “allégations sans fondement”.
« Ces allégations ne reposent en effet sur rien d’autre que la diffamation provenant de la propagande du PKK et de ses partisans envers nos opérations antiterroristes. Les autorités irakiennes ne doivent pas succomber à la propagande noire des terroristes. À chaque étape de la planification et de l’exécution de nos opérations, la plus haute importance est attachée à la sécurité des civils. C’est un fait également connu des autorités irakiennes. Nos forces armées ont un dossier vierge à ce sujet », a déclaré Aksoy dans une déclaration écrite.
Le porte-parole a appelé l’Irak à agir en coopération et en harmonie avec la Turquie dans sa lutte contre le groupe terroriste PKK qui “menace également la stabilité, la sécurité et l’intégrité territoriale de l’Irak”.
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